Nos collections
La pierre : Sélectionnez une œuvre...
Ce chef-d’œuvre de réception a été réalisé en 1979 par Gascon la Persévérance de Valence-d’Agen, compagnon maçon-tailleur de pierre des Devoirs. Les marches ne sont pas collées sur la bouteille formant noyau central mais font corps avec lui.
La voûte de Genève est une maquette réalisée en 1964 par La Sagesse de Monthodon, compagnon passant tailleur de pierre du Devoir. Sous son apparente simplicité, cette construction présente de grandes difficultés car il s’agit de donner à chacune des pierres qui la composent la forme rigoureusement parfaite qui permet de passer en une demi-ellipse d’une entrée en plate-bande (carrée) à une sortie sous berceau (ronde). Ce n’est qu’avec la maîtrise de la stéréotomie ou trait appliqué à la coupe des pierres, que les tailleurs de pierre peuvent concevoir, dessiner et construire des édifices aux formes très complexes.
Cette sphère en staff constitue le chef-d’œuvre de réception de La Sincérité de Valençay, compagnon passant plâtrier du Devoir (1990). Cumulant des difficultés d’exécution, ce travail donne l’illusion de la rotation et s’apparente à une œuvre d’art décoratif.
Le grand chef-d’œuvre des compagnons passants couvreurs du Devoir d’Angers a été entrepris en 1913 par le compagnon Alfred Bonvous père (Angevin la Clef des Cœurs) et son fils (Angevin Cœur de France). Ce dernier est mort à Verdun durant la Grande Guerre. Le père a continué seul la confection de cette œuvre monumentale, associant de multiples difficultés d’exécution, et l’a achevée en 1922, au terme de 3700 heures de travail. La couverture comporte près de 8000 ardoises. Certaines sont découpées et forment des sentences, des blasons, et le nom du fils mort pour la France.
La flèche en ardoise découpée est un chef-d’œuvre de patience et d’habileté, réalisé pour le seul plaisir du compagnon couvreur Pierre-Germain Philippe, Rennois la Promptitude, au début du XXe siècle. Les petits panneaux d’ardoise refendue sont percés, découpés comme de la dentelle, finis à la lime puis assemblés.
Ce chef-d’œuvre de réception a été réalisé en 1979 par Gascon la Persévérance de Valence-d’Agen, compagnon maçon-tailleur de pierre des Devoirs. Les marches ne sont pas collées sur la bouteille formant noyau central mais font corps avec lui.
La voûte de Genève est une maquette réalisée en 1964 par La Sagesse de Monthodon, compagnon passant tailleur de pierre du Devoir. Sous son apparente simplicité, cette construction présente de grandes difficultés car il s’agit de donner à chacune des pierres qui la composent la forme rigoureusement parfaite qui permet de passer en une demi-ellipse d’une entrée en plate-bande (carrée) à une sortie sous berceau (ronde). Ce n’est qu’avec la maîtrise de la stéréotomie ou trait appliqué à la coupe des pierres, que les tailleurs de pierre peuvent concevoir, dessiner et construire des édifices aux formes très complexes.
Cette sphère en staff constitue le chef-d’œuvre de réception de La Sincérité de Valençay, compagnon passant plâtrier du Devoir (1990). Cumulant des difficultés d’exécution, ce travail donne l’illusion de la rotation et s’apparente à une œuvre d’art décoratif.
Le grand chef-d’œuvre des compagnons passants couvreurs du Devoir d’Angers a été entrepris en 1913 par le compagnon Alfred Bonvous père (Angevin la Clef des Cœurs) et son fils (Angevin Cœur de France). Ce dernier est mort à Verdun durant la Grande Guerre. Le père a continué seul la confection de cette œuvre monumentale, associant de multiples difficultés d’exécution, et l’a achevée en 1922, au terme de 3700 heures de travail. La couverture comporte près de 8000 ardoises. Certaines sont découpées et forment des sentences, des blasons, et le nom du fils mort pour la France.
La flèche en ardoise découpée est un chef-d’œuvre de patience et d’habileté, réalisé pour le seul plaisir du compagnon couvreur Pierre-Germain Philippe, Rennois la Promptitude, au début du XXe siècle. Les petits panneaux d’ardoise refendue sont percés, découpés comme de la dentelle, finis à la lime puis assemblés.